Alors que 2022 se termine à peine, quel serait votre premier bilan, à chaud ?
Une année difficile. Plus encore que 2021. La mauvaise conjoncture nous a beaucoup impacté. Moins de ventes sur la boutique en ligne. D’un autre côté notre partenariat avec la FNAC a donné quelques fruits notamment cet été.
Nous sommes retournés à Angers et nous avons retrouvé avec joie ce sympathique salon. Et nous avons fait notre première Convention Nationale. De bons moments de convivialité.
A titre personnel, hors parutions, un événement vous a-t-il particulièrement marqué ou surpris au cours de cette année écoulée (un prix, un salon, etc...) dans le paysage des littératures de l'Imaginaire ?
Pas vraiment d’événements marquants cet année. À part la remise du pris Ayerdahl à Philippe Ward, un grand monsieur qui méritait d’être récompensé.
J’ai l’impression qu’il n’y plus guère d ‘événements marquants dans le milieu. De nouveaux salons certes, mais ça c’est normal. Plus il y en aura lieux ce sera.
Quelle est le programme pour cette année?
Nous avons pris la décision difficile de geler les sorties depuis la fin 2022. Nous sommes envahis par les volumes et nous aimerions bien destocker un peu avant de passer à la suite.
Enfin, quel sera votre plus grand défi pour cette nouvelle année ?
Comme précédemment survivre.